Le refuge
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Guilde à caractère Role Play du serveur Les Sentinelles.
 
AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

 

 Un soir de guerre dans les Maleterres

Aller en bas 
3 participants
AuteurMessage
Aelmanda
Conciliateur
Aelmanda


Nombre de messages : 995
Description : Guerrier humain Cercle 60
Date d'inscription : 17/10/2005

Un soir de guerre dans les Maleterres Empty
MessageSujet: Un soir de guerre dans les Maleterres   Un soir de guerre dans les Maleterres EmptyLun 16 Jan à 14:03

Le vent fait claquer ma cape dans mon dos... Sur le griffon qui me mène au camp du Noroît, je pense à l'épopée qui nous attend. Je frissonne, est-ce le froid ou l'inquiétude qui commence à monter en moi ? La liche est certes un ennemi redoutable, mais ce soir, nombreux et puissants seront mes amis autour de moi. Je leur fait confiance, ça doit être le froid !
J'atterris, pas trop tôt... Je n'aime pas ces voyages aériens. J'ai besoin du contact avec le sol. Enfin, je ne suis plus malade, c'est déjà ça.
Près de l'aire des griffons, je retrouve Torendril. Il est arrivé le premier, éclaireur un jour, éclaireur toujours...
Nous échangeons nos salutations. Retrouver mon Frère Elfe est toujours un plaisir, combattre à ses côtés un honneur et une joie.
Bientôt, les autres Messagers atterrissent eux aussi, et le groupe s'étoffe. Galahad, mon cousin Kellnaw, Nactalena, Segwarides, Joaquin, Lôrdrv... Nous sommes en force, rien ne peut nous arrêter !
Nous formons deux groupes de combat et après quelques hésitations, nous nous mettons en route en direction d'Andhoral. Aux abords de la cité, nous mettons pied à terre. Nous avons hâte d'en découdre, mais nous devons rester prudents. La cité est infestée d'agents du Fléau. Je surprend un moment d'émotion chez Seg qui regarde avec tristesse ce qu'est devenue sa ville natale.
Galahad, Segwarides et moi formerons la première ligne, soutenus et maintenus en forme par Nactalena et Kellnaw. Torendril marquera les cibles et criblera nos adversaires de ses traits mortels tandis que Aergy, son compagnon de toujours, restera à ses côtés, prêt à intercepter quiconque réussirait à s'infiltrer vers l'arrière. Joaquin et Lôrdrv, chacun à sa manière, s'occuperont de faire tomber sur nos ennemis la puissance destructrice des arcanes.
Nous entamons notre progression au milieu des ruines froides. L'odeur de chair putréfiée infeste l'air et nous fait suffoquer. Des mouvements furtifs entre les amas de pierres déclenchent en moi des bouffée de claustrophobie. J'ai l'impression de ne plus pouvoir respirer, et la tentation est forte d'arracher mon heaume. Allons, ne faiblis pas, Conciliateur, les Messagers te regardent !
Au détour d'une ruelle, la température monte soudainement. Torendril, aux aguets comme à l'accoutumé, hurle "des goules, attention !" Les créatures se jettent sur nous, mais nous sommes prêts. Elles ressemblent à des cadavres putréfiés, environnées de flammes. Je sens monter la rage en moi et j'abats mon arme sur la plus proche. La chair est découpée et les os craquent, mais les flammes mordent mon avant bras. A côté de moi, Seg et Gal sont eux aussi entrés dans la macabre danse, et bientôt il ne reste des trois monstres que des tas sanguinolents et fumants.
Première rencontre, première victoire, à peine quelques poils roussis et écorchures sans gravité... Ou était-ce plus grave ? Je ne m'en préoccupe plus depuis longtemps, trop habitué à ce que Kell ou Nac referment mes blessures aussi vite qu'elle s'ouvrent.
Nous repartons. Le silence n'est rompus que par le grincement de nos armures, et parfois un hurlement strident qui nous glace jusqu'aux os. Les nouveaux habitants de la cité nous soufflent le chaud et le froid, et cela commence à doucement m'énerver ! L'adrénaline coule à flot dans mes veines, la machine est lancée, nous ne repartirons pas sans la tête de la maîtresse des lieux !
Notre progression vers le centre de la ville, où, d'après la rumeur, se tient la Liche, est entrecoupée d'embuscades. Les goules je jettent sur nos armes, parfois accompagnées de squelettes dont certains nous arrosent de loin d'éclair de magie noire. Mais nous sommes protégés, par la grâce de la Lumière et la bénédiction d'Elune. Notre nombre, notre entraînement font merveille et nous avançons toujours victorieux, à peine ralentis, à la suite d'un Galahad pressé d'en découdre. Cela fait d'ailleurs quelques temps que mon frère de sang montre des signes d'impatience au combat. Il en veut toujours plus, comme une frénésie de lutte contre tout agent de la Légion ou du Fléau.
Nous arrivons en vue de la place au centre de laquelle trône la Liche. Elle est entourée d'une armée de serviteurs morts-vivants. Nul mot de notre présence ne semble l'avoir atteinte, elle tient tranquillement sa cour macabre. Allongés dans les ruines environnantes, nous évaluons notre cible. Quelques patrouilles isolées devront être éliminées avant toute chose, et sous couvert des restes de murs branlants, nous opérons un mouvement tournant. A notre tour de monter des embuscades, le gibier s'est transformé en loup. Nos victimes, trop isolées, tombent rapidement sous la puissance combinée de nos armes et de nos sortilèges. Bientôt, les abords immédiats de la place sont nettoyés et nous nous tournons vers notre destin.
Nous nous organisons, sur le schéma que nous avons utilisé avec succès depuis le début de notre expédition. Nous chargerons, Gal, Seg et moi, et tâcherons de garder l'attention de la Liche et de ses sbires fixée sur nous, couverts par nos amis. La moindre erreur ou hésitation pourrait ici nous être fatales. La puissance des créatures sur cette place est écrasante. Le tableau qu'elles m'offrent au travers de la visière de mon heaume me transperce d'effroi. Gal perçoit mon trouble et me demande si ça va. Je lui répond d'un rapide hochement de la tête. Je me concentre sur la cible. J'ai à combattre un capitaine squelettique, lieutenant d'Araj' tandis que Gal et Seg, plus aguerris, s'occuperont de la liche elle même. Il est temps d'y aller... La tête rentrée dans les épaules, le bouclier en avant, ma main droite crispée sur la poignée de la lame fantôme, je charge ma cible, Seg et Gal faisant de même sur ma droite. Nous poussons de sauvages cris de guerre. Pour impressionner l'ennemi ou pour nous rassurer, je ne sais pas...
Contact... Mon coup de bouclier a déséquilibré le squelette et lui a pulvérisé quelques os. Mon épée commence à ravager son armure, un coup puis deux, et trois... Un éclair noir s'écrase sur sa cuirasse, y creusant un trou béant. Je suis touché, à plusieurs reprises. La douleur augmente ma rage, mais disparaît aussi vite qu'elle arrive, les soins magiques des guérisseurs du groupe me soutiennent. Je suis une parfaite machine à détruire, invincible, frappant à tour de bras. Je n'ai pas à me soucier de moi, seulement de ma mission : focaliser l'attention de nos ennemis. Ma lame fantôme décrit des arabesques de lumière et d'ichor, arrachant l'acier de l'armure, l'esquille de l'os et les lambeaux de chair. Les éclair arcaniques fusent, les flèches de Tor transpercent nos adversaires. J'intercepte une goule essayant de s'infiltrer vers le groupe de soutient. Elle s'arrête, estourbie. Je place deux coups, et soudain elle disparaît dans une gerbe de flammes. Joaquin m'adresse un sourire satisfait. Je lui réponds, quoique à la réflexion, un sourire derrière un heaume... Puis je retourne dans la mêlée. Gal et Seg font merveille, plusieurs morts-vivants sont étendus à leurs pieds, mais ils n'ont pas encore pu accéder à la liche. Elle reste protégée par un mur d'os et de chair putride, hérissé de griffes et d'armes rouillées. Et de derrière son rempart "vivant", elle nous bombarde d'Edricht et d'explosion arcaniques. Les contresorts fusent de l'arrière, Galahad nous protège de la Lumière de sa foi, et nous repartons à l'assaut. J'entends à droite les lourds impacts du marteau de guerre de Seg, et à gauche les sifflements de la grande lame de Gal. Lentement nous progressons vers Araj', tailladant et écrasant, quand soudain le flot de flèches et d'éclairs magiques se tarit. Je jette un oeil rapide vers l'arrière. Plusieurs goules et squelettes ont réussi à nous contourner et à attaquer nos amis. Tor les affronte, Aergy à ses cotés, sa pioche de guerre et son épée courbe dessinant un mur d'acier meurtrier devant lui. Nac, sous forme de panthère, déchire les goules de ses griffes. Lôrd et Joa font feu de toute leur puissance. Ils ont la situation en main, je me concentre à nouveau sur mes adversaires directs.
Nous y sommes presque, d'un revers d'épée, je capte l'attention de nos trois dernier adversaires. Gal et Seg ont le champ libre, ils se précipitent à l'unisson sur Araj'. Je souffre, les griffes des goules crissent sur mon armure, les lames des squelettes heurtent mon bouclier, mais plusieurs de leurs coups ont passé mes défense. Mon sang coule sous mon armure. Ma rage est décuplée, je frappe ! Un voile rouge s'étend sur mes yeux, je ne sens plus la douleur. Je frappe. Mon bras est lourd, je frappe. Ma tête résonne d'un coup sourd sur mon heaume, je frappe, je frappe je frappe. Et soudain mon Cousin est là, avec moi. Son bouclier me protège, mes adversaires ne peuvent plus rien contre moi. La magie referme mes blessures, me rend toutes mes forces. Nac est là aussi, elle prodigue ses soins à tous. Nous en avions besoin. Je vois a nouveau les boules de feu de nos mages fuser et les flèches de Tor voler. Les trois goules en face de moi sont bientôt pulvérisées et je peux me ruer sur la Liche...

A suivre


Dernière édition par le Lun 16 Jan à 19:49, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Darkorke
Messager
Darkorke


Nombre de messages : 501
Description : démoniste Orc de niveau 60
Date d'inscription : 12/11/2005

Un soir de guerre dans les Maleterres Empty
MessageSujet: Re: Un soir de guerre dans les Maleterres   Un soir de guerre dans les Maleterres EmptyLun 16 Jan à 19:12

Darkorke écoute le récit d'Ael dans un silence religieux

Quand même se dit il. Nous combattons pour la même cause mais sur des fronts differants certe. Et je sais que mon front à moi se trouve en Gangrebois... et au dessus de mes yeux. Mais quand même.
C'est vachement impressionnant ce qu'ils font!

Darkorke, prit dans le file de l'histoir avale distraitement un oeil de Velzen sans que cela le dérange le moins du monde, tant il est concentré
Revenir en haut Aller en bas
Aelmanda
Conciliateur
Aelmanda


Nombre de messages : 995
Description : Guerrier humain Cercle 60
Date d'inscription : 17/10/2005

Un soir de guerre dans les Maleterres Empty
MessageSujet: Re: Un soir de guerre dans les Maleterres   Un soir de guerre dans les Maleterres EmptyMer 18 Jan à 11:31

Araj' était un mage, mais elle combat ce soir avec la puissance d'un guerrier. Ses griffes font fi de l'acier dont nous sommes couverts et rapidement, nos chairs meurtries appellent de leurs voeux le flux guérisseur de Kellnaw et Nactalena. Mais les forces des prêtres ne sont pas extensibles à l'infini, et comme notre propre endurance, leur énergie se tarit peu à peu... Des morts vivant ont de plus à nouveau pris notre soutien à revers. Notre druidesse a repris une forme de bataille et protège les mages aux côtés de son époux. Nous encaissons volée de coups sur volée de coups, et ne semblons pouvoir percer les formidables défenses de notre adversaire. Le sol est rendu glissant de notre propre sang, nos frappes se font moins assurées. Les impacts sourds du marteau de Segwarides se font plus espacés, les sifflements de l'espadon de Galahad sont peu à peu moins aigus. Ma lame fantôme se meut avec maladresse et ne trouve plus que rarement sa cible.
Kellnaw, dans un de ses élans d'héroïsme, se porte au front et tour à tour, nous applique onguents et bandages, un soigné et les deux autres faisant rempart de leurs corps. Galahad, soudain environné et protégé par la Lumière, renforce nos âmes et répare nos corps meurtris des derniers lambeaux de sa magie divine.
A nouveau ensemble dans un état passable, nous redoublons d’ardeur au combat. Nous ne pouvons nous permettre de le faire durer. Nous sommes tous épuisés, et si jamais un nouveau contingent de morts vivants fait son apparition, nous sommes condamnés…
Les coups pleuvent sur Araj’, nos ensorceleurs, à court eux aussi, font feu de leurs baguettes magiques. Torendril, débarrassé de toute menace directe fait à nouveau tomber une pluie de flèches sur la Liche. Nactalena se précipite elle aussi à notre secours accompagnée d’Aergy. Bientôt notre puissance cumulée force l’adversaire à une attitude plus défensive. Elle recule, quelque chose comme de la peur se lit dans ses yeux. Ici nous ne portons pas un message de paix. Destruction pour les agents du Fléau est notre nom dans les Maleterres, Araj’ l’apprend ce soir à ses dépends. Son bouclier magique n’est plus que souvenir et nos frappes portent enfin ! Les lames et les griffes déchirent la chair morte, le marteau pulvérise les os. Haro, la bête agonise ! Attaquée de toutes parts, elle succombe dans une dernière déflagration de magie noire…
Un silence relatif se fait sur la place d’Andhoral. J’entend ma respiration saccadée résonner dans mon heaume, que j’arrache fébrilement. Mes compagnons semble eux aussi chercher leur souffle. Je crois que nous ne réalisons pas le fait accompli… Pas tout de suite. Puis à l’unisson, comme si nous avions guetté un signe, nous levons nos armes vers le ciel en hurlant notre victoire.
« Ville prise, ville prise », m’entend-je crier. Nous nous regroupons, la fatigue dans nos yeux a laissé la place à la fierté. Cette place que nous avons gagné, nous allons la tenir, au nom de tous les Peuples d’Azeroth, aussi longtemps que nous le pourrons. Winstrerding est arrivé en renfort, mais hélas, Joaquin doit nous quitter. Une mauvaise blessure nécessite plus de soin que nous pourrions lui en prodiguer en campagne, aussi disparaît-il à contrecoeur dans un portail mystique.
Nous établissons un périmètre de sécurité autour de notre position. La ville n’est pas vidée de ses occupants, et bruisse de colère. Chacun cherche à récupérer au plus vite, en vue de l’assaut qui ne manquera pas de venir. Torendril ramasse ses flèches encore intactes. Les guerriers affûtent leurs armes, les jeteurs de sorts révisent leurs incantations ou se recueillent…
Et nous les voyons… Nous les sentons d’ailleurs avant tout, une odeur de pourriture plus forte que les relents qui stagnent sur la ville. Les colonnes de nos ennemis convergent vers nous par les trois rues qui rayonnent de la place. Je baisse soudain mes armes, j’ai du mal à réprimer un cri de terreur… Araj’ est là, à la tête de ses troupes, un rictus déforme ses traits. A mes côtés, Galahad me souffle « On ne tue pas une liche aussi facilement. Nous l’avons affaiblie, mais tant que son Phylactère ne sera pas détruit, elle reviendra. Tout au plus est elle affaiblie pour un temps. » Puis sur un sourire carnassier, le Paladin baisse sa visière et se met en position de combat.
Nous l’imitons tous. Cette fois, nous savons que nous serons débordés, il n’est plus vraiment question de front et de soutient. Tout au plus les monstres qui nous passeront auront un muret à franchir pour atteindre nos compagnons.
La suite est un chaos indescriptible. Les hordes de squelettes et de goules se précipitent en masse compacte. La tâche de Winstreding, Lôrdrv et Torendril s’en trouve facilitée alors qu’ils font pleuvoir sur les assaillants des blocs de glace, des météores de flammes et de compactes volées de flèches. Les premiers rangs qui arrivent à portée de nos armes sont pour le moins clairsemés et nous les éliminons rapidement avant que la deuxième vague plus dense déferle sur nous. Je ne garde pas de souvenirs précis de cette mêlée. Nous agissons soudés et solidaires, tendus vers notre survie et notre but commun. Un jour, des enfants jouerons à nouveau sur cette place imprégnée de notre sang. Pas ce soir, sans doute, mais nous reviendrons en force, Alliance et Horde réunis, et rien ni personne ne pourra nous faire reculer.
La liche a rejoint ses troupes au plus fort des combats. Elle semble ne pas s’être pleinement remise de sa défaite, et sa présence n’est pas déterminante. Dans le flou de la bataille, je sens que nous ne faiblissons pas. Nous prenons à nouveau le meilleur sur nos adversaires. Segwarides a réussi a s’approcher d’Araj’ et elle ressent à nouveau la morsure des armes du Gladiateur. Les morts vivants à l’appel à l’aide de leur chef, commettent l’erreur de délaisser nos compagnons et convergent vers nous. Libérés de toute pression, mage et prêtre, druide et archer, démoniste et diablotin ouvrent des coupes claires dans la forêt de nos ennemis. D’un puissant revers de son marteau, Seg terrasse à nouveau la Liche et Galahad et moi hachons les dernières goules désemparées.
Nous sommes couverts de sang et d’ichor, haletants, épuisés. Mes armes pèsent des tonnes, mon armure m’attire vers le sol. Nous nous regardons. Nous lisons dans nos yeux que nous ne tiendrons pas un assaut de plus, même si comme celui là, leur intensité baisse.
La mort dans l’âme, nous nous plaçons en formation de replis, et quittons cette place. Kellnaw déloge un pavé et y grave quelque chose de la pointe d’une dague oubliée. Puis il le replace… L’Arbre des Messagers de paix atteste bientôt seul de notre passage en ces terres maudites…


Dernière édition par le Jeu 19 Jan à 0:47, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Kellnaw
Ambassadeur
Kellnaw


Nombre de messages : 1112
Description : Humain, prêtre-guérisseur de la Lumière (60ème cercle)
Date d'inscription : 17/10/2005

Un soir de guerre dans les Maleterres Empty
MessageSujet: Re: Un soir de guerre dans les Maleterres   Un soir de guerre dans les Maleterres EmptyJeu 19 Jan à 0:21

Sous ta plume, cousin, nos vies semblent matière dont on fait les légendes...
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Un soir de guerre dans les Maleterres Empty
MessageSujet: Re: Un soir de guerre dans les Maleterres   Un soir de guerre dans les Maleterres Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Un soir de guerre dans les Maleterres
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» qui pour une instance mercredi soir ?
» Du bruit dans la nuit
» Des Elfes dans la nuit
» Des combats dans les Tarrides
» Tard dans la nuit

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Le refuge :: Les salles du refuge :: Le hall d'exposition-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser